KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. »
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Sujet: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 14:24
scalabrini mariano keeganyou're never too young to dream big.
madame, PRÉNOM : Mon premier prénom est Mariano, mais depuis petit, je préfère que l'on m'appelle par le second ; Keegan. NOM : Étant donné que mon père est italien, il est normal que mon nom de famille me rappelle mon pays d'origine. Ainsi, je m'appelle Scalabrini ; Mariano Keegan Scalabrini. ÂGE : 22 ans DATE DE NAISSANCE : Je suis né un premier avril. Par conséquent, mon existence est une farce. ORIGINES : Mon père est italien, ma mère était américaine. C'est clair, non ? LIEU DE NAISSANCE : Je suis né à Rome. CARACTÈRE : ambitieux, amusant, attentionné, câlin, calme, charmeur, courageux, créatif, débrouillard, direct, dynamique, expressif, fidèle, généreux, intelligent, mature, obstiné, observateur, patient & sportif. facilement agressif, arrogant, entêté, fainéant, fan de la procrastination, froid, gourmand, humiliant, jaloux, maniaque de la propreté physique, paresseux, prétentieux, qui sait tout, rancunier, sans gêne, têtu & vulgaire. GROUPE : national anthem. POURQUOI CHOISIR CE GROUPE ? il est vrai que je suis né en Italie, mais je suis arrivé ici lorsque je n'avais que cinq ans. De plus, j'ai des origines américaines et j'ai toujours parlé américain et italien, même si je n'ai pas connu ma mère très longtemps. C'est pourquoi je pense que ce groupe est celui qui me convient le mieux.
questionnaire, ►VOUS HABITEZ seul(e) en couple en colocation en famille ►VOUS ETES ACTUELLEMENT étudiant ▹ en gestion et administration. salarié ▹ écrire ici les activités pratiquées, l'emploi et/ou les études en cours sans activité
zieute dans le message suivant pour connaître mon histoire.
Dernière édition par M. Keegan Scalabrini le Lun 29 Juil - 14:44, édité 3 fois
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Sujet: Re: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 14:24
MY STORY
Je voulais que tu comprennes ce qu'est le vrai courage, au lieu de t'imaginer que c'est un homme avec un fusil à la main. Le vrai courage, c'est de savoir que tu pars battu, mais d'agir quand même sans s'arrêter. - harper lee.
Il était dix-neuf heures et la température devait dépasser les trente-cinq degrés. Le soleil était encore haut dans le ciel et la circulation encore bien voyante. Quelques bouchons par-ci, par là. Cependant, Azur Clayton se fichait bien de tout cela. Elle qui était assise sur la terrasse d'un café italien, avait bien d'autres sujets hantant ses pensées. Elle ne savait pas comment son petit ami allait réagir, ni même s'il en prendrait la responsabilité. Après tout, ils n'avaient que vingt-deux ans. C'était assez jeune pour avoir un enfant, n'est-ce pas ? Sirotant sa grenadine, elle caressait son ventre d'une main remplie de tendresse sans même s'en rendre compte. Cela faisait trois jours qu'elle y pensait. Trois grandes journées à retourner son cerveau dans tous les sens pour trouver une solution. Le garder ? Et si ses parents la reniaient ? Est-ce que Mattéo allait rester avec elle et prendre ses responsabilités ? Aurait-elle une chance d'avoir cette famille qu'elle désirait tant ? Elle n'en savait rien. Toutes ses questions sans réponses allaient la rendre folle. La jeune femme soupira, son regard posé sur un jeune couple se chamaillant gentiment. « Azur ? T'es là depuis longtemps ? » Cette voix ... Elle pouvait la reconnaître entre mille. Pas besoin de se retourner pour savoir qu'il s'agissait de l'homme de sa vie. Elle sentit des lèvres se poser sur sa joue droite. Elle tourna donc son visage pour embrasser le jeune homme qui venait d'arriver ; en retard de dix bonnes minutes. « Je crois que ça fait bien dix minutes que je suis là ... pourquoi tu es retard, cette fois ? » Oui. Ce n'était pas la première fois, mais Azur avait l'habitude. Elle savait qu'il était très occupé avec toutes les histoires de sa famille, mais elle espérait qu'un jour, elle serait sa priorité. « Le travail m'appelait. Tu sais comment est mon père, hein. Et donc, pourquoi tu voulais me voir si tôt ? Tu sais très bien que l'on doit dîner avec tes parents ce soir, n'est-ce pas ? » La jeune femme hocha de la tête positivement avant de se mordre la lèvre inférieure. Ce geste trahissait toujours sa gêne et son stresse ; c'est pourquoi Mattéo fronça légèrement ses sourcils, se demandant brusquement à quoi pouvait-elle bien penser. « Hum ... Je sais, je sais. En fait, je dois te dire quelque chose d'important ... à propos de nous .. » L'italien ouvrit grand les yeux. Était-elle en train de mettre fin à leur relation ? Cette pensée l'affola. Ses poings se serrèrent et il sentit sa respiration s'accélérer. « Tu ne peux pas me quitter comme ça, c'est bien tr ... » « Laisse-moi finir, veux-tu ? Bon ... je ne vais pas y aller par quatre chemins ... je ne sais pas comment tu vas le prendre et ... j'en suis vraiment effrayé. Bon, voilà ; je suis enceinte. » Son amant manqua de recracher sa boisson et il se mit à toussoter pour finalement reprendre une respiration normale. Il attrapa l'une de ses mains avant l'une des siennes tandis que l'autre l'attrapait par la nuque pour approcher son visage du sien. Doucement, il appuya ses lèvres contre celles de la jeune femme, plongeant son regard dans le sien. Il n'y avait pas de mot pour décrire tous les sentiments qui passaient dans le regard du garçon, mais Azur avait directement su qu'il ne l'abandonnerait pas.
L'air était plutôt doux, en cette fin de mois d'avril. Les Clayton et Scalabrini étaient tous réunis dans la salle d'attente d'un des hôpitaux de Rome, attendant patiemment des nouvelles des futurs nouveaux parents. En effet, Azur allait bientôt donner naissance à son premier et unique enfant ; un garçon. Seul Mattéo avait eu le droit d'assister à l'accouchement ; étant lui-même le père du petit être qui allait bientôt voir la lumière du jour pour la première fois de sa vie. Ainsi, les heures défilaient avec une lenteur atroce. Si bien que le jeune homme aurait pu s'endormir, si sa fiancée ne criait pas sa douleur. Il savait que cela faisait mal, mais il aurait préféré qu'elle ne lui casse pas les oreilles. Oh ! Cette pensée n'avait rien de bien méchant, après tout, Mattéo aimait la jeune femme plus que tout, sinon, il serait parti en courant en apprenant qu'elle était enceinte, huit mois plus tôt. Et lorsque l'une des infirmières hurla qu'elle voyait la tête du bambin, le jeune homme sentit son coeur s'affoler. Bientôt, il verrait son unique fils. Bientôt, il serait réellement vu comme un père. Une longue heure après les paroles de l'infirmière, Azur s'endormit après avoir souri à son fils. A cause de la fatigue de sa fiancée, Mattéo fut forcé à donner les prénoms de son enfant, seul. C'est ainsi qu'il regarda son fils avec un sourire attendrit avant de prononcer ces mots ; « Mariano Keegan Scalabrini. Voilà ton nom. » Oui, on ne pouvait pas faire plus banal, mais le jeune homme n'avait d'yeux que pour le nouveau né et il ne pensa donc pas à faire dans l'originalité, bien qu'il l'aurait bien voulu.
→ « Mamaaan ! J'veux pas y aller. J'veux rester avec toi à la maison et dormir tard ! J'veux pas aller à l'école. Antonio m'a dit que les garçons là-bas, ils se battent pour savoir qui est le plus fort, mais moi ... j'veux pas me faire taper ! Et papa a dit qu'il ne faut pas que je tape ! J'ai peur, m'man ! Ils vont peut-être me casser une dent ? » Le jeune Scalabrini ne cessait de parler. Il tenait la main de sa mère avec fermeté, les yeux rivés sur la cour de l'école. Son cousin ; Antonio, était âgé de six ans et n'avait cessé de lui raconter des bêtises au sujet des professeurs et des cours. Par exemple ; « Tu sais quoi ? Et bah, quand t'es pas sage, les profs te pendent par les oreilles sur les portes manteaux pendant une heure ! Même que mon ami Luigi a perdu une oreille à cause de ça ! Tu te rends compte ?! » ou encore « On te fait apprendre des trucs complètement débiles. Et si tu ne les retiens pas, on t'enferme dans une cave remplie de rats jusqu'à-ce que ce soit l'heure de rentrer. Même que je me suis fait mordre une fois et que mon bras est resté bleu pendant une semaine ! » Comme le jeune Scalabrini était plutôt naïf, il croyait tout ce que lui disait son cousin. Voilà pourquoi il ne voulait pas aller à l'école. « Kee', tu peux arrêter de faire ta chochotte ? L'école, ça ne va pas te tuer, au contraire. Plus tard, tu seras fort et intelligent grâce à elle. » Mais il n'était pas d'accord. Lui, il croyait dur comme fer les paroles d'Antonio.
→ « Et m'man ! Je peux avoir une glace, dis ? » Âgé de quatre ans, le jeune Scalabrini savait comment faire pour que sa génitrice accepte toutes ses demandes. Il plongeait son regard dans le sien, affichait une mine de chien battu et hop ! Le tour était joué. La jeune femme soupira et le prit dans ses bras, lui demandant quel parfum il voulait. « Maaaangue ! Maaangue ! Maaangue ! » Rien faiblement, elle demanda deux glaces aux mêmes goûts. C'était assez impressionnant ; le fait qu'il lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Si l'on oubliait son visage plus carré et masculin, ses cheveux courts et sa pomme d'Adam ; Keegan était le portrait craché de sa mère. Même au niveau caractère ; il était exactement comme elle. Ils avaient le même plat préféré, les mêmes préférences musicales et artistiques. Bref, sa mère était pour lui son modèle.
« Keegan Scalabrini, pourrais-tu me suivre s'il te plaît ? » Âgé de presque cinq ans, l'enfant releva son regard de son bureau pour fixer la directrice de son école. Ses sourcils se froncèrent d'eux-mêmes tandis qu'il rangeait ses affaires en vitesse pour finalement rejoindre la femme aux traits doux et rassurants. Il se demandait quelle bêtise il avait fait. La dernière fois qu'elle l'avait appelé, il avait balancé des vers de terre sur des garçons de sa classe parce qu'ils l'énervaient. Oui, malgré sa peur de l'école au tout début de sa scolarité, Keegan avait appris à se faire respecter. Même si son père lui disait d'être gentil, il ne l'écoutait pas ; pour lui, la violence était la clef pour ne pas être embêté. Si bien qu'il ne comprenait pas les jeunes enfants de son âge qui se soumettaient à sa bande de « copains ». Pourtant, il ne disait jamais rien. Se contentant de tenir le binoclard de la classe pendant qu'un autre le frappait. Enfin bref. Keegan remarqua très vite son père qui était en train de parler avec un policier, un peu plus loin. « Papa ? Pourquoi t'es là ? » Demanda-t-il naïvement, ne sachant pas que quelque chose de tragique venait de se passer. Mattéo se tourna vers son fils. Ses yeux étaient rouges et gonflés. Ses joues étaient humides. Le cœur de l'enfant se serra tandis qu'il s'approchait brusquement de son père pour essuyer les larmes de tristesse qui défiguraient son visage. « Pourquoi tu pleures, papa ? » Il plongea son regard innocent dans celui sans émotions de son père et se mordit la lèvre inférieure. Mattéo passa ses mains sur les joues de son fils, l'air complètement choqué. « Pourquoi faut-il que tu sois son portrait craché ? Pourquoi faut-il que tu ais ses mêmes manies ? » Keegan haussa des épaules, comprenant de qui parlait son père, bien qu'il ne savait pas que ses paroles étaient censées l'affecter plus que n'importe quoi. « Maman est … montée au ciel, Keegan … elle ne reviendra plus ... » Murmura-t-il avant de prendre son fils dans ses bras, le serrant aussi fortement que possible. S'accrochant à lui comme une bouée de sauvetage, comme si c'était la seule chose qui lui permettait de garder contenance. Les yeux embués, Keegan repoussa son père, murmurant de faibles « non » tandis que son visage se décomposait. Il recula d'un pas, puis d'un deuxième avant de s'enfuir en courant, ignorant les appels des adultes ; ignorant les pas pressés qui le suivaient.
→ « Alors, c'est notre nouvelle maison, ici ? » Demanda Keegan en relevant son regard pour fixer le visage de son père. Ce dernier ne prit même pas la peine de le regarder pour lui répondre. Il hocha simplement de la tête avant de pousser la porte d'entrée. « Maman habitait ici avant de venir en Italie. C'est ici que l'on va vivre désormais, alors habitue-toi à entendre de l'américain beaucoup plus souvent qu'avant. » L'enfant haussa des épaules et un faible sourire étira ses lèvres. Il se tourna vers les escaliers pour grimper jusqu'à sa chambre où il resta jusqu'à l'heure du soupé. Même s'il n'avait que cinq ans, Keegan ne voulait pas montrer ses sentiments à son père. Il voulait se montrer fort, comme ce dernier ne l'était pas pour lui. Il voulait montrer à son père qu'il était digne de lui, qu'il pouvait endurer la perte de sa mère, même s'il avait envie de pleurer, d'hurler le nom de sa mère jusqu'à ne plus pouvoir parler.
« Je te présente Anna, la femme dont je t'ai parlé. A ses côtés, c'est sa fille ; Heaven. Elle n'a qu'un an de moins que toi, j'espère que vous vous entendrez bien. » Suite à ses paroles, Anna s'approcha de Keegan et l'enlaça. Celui-ci, âgé de dix ans, se raidit. Personne n'avait le droit de le prendre dans ses bras à part ses plus proches amis. Ainsi, il la repoussa un peu brusquement, le nez froncé. Il tourna son regard vers la fillette de son âge et lui tira la langue avant de se retourner sans dire un mot de plus. Il marcha jusqu'à sa chambre avant de claquer la porte de toutes ses forces. Depuis quand est-ce que son père osait ramener une autre femme que sa mère chez eux ? Avait-il oublié sa génitrice ? Il ne le voulait pas. Il était pourtant persuadé que sa présence lui suffisait ; que ce serait lui et son père contre le monde à tout jamais. Il se trompait. Oui, Keegan était jaloux. Il ne voulait pas de présence féminine chez lui, sauf celle de sa mère … mais c'était impossible ; celle-ci étant morte dans un accident de la route quelques années plus tôt. « Keegan, tu boudes ? On va bientôt passer à table. Tu veux que je t'amène ton assiette dans ta chambre ? » « Laisse-moi. Je n'ai pas faim. Pars. » Non. Il ne l'accepterait pas. Il leur ferait la misère, il en était sûr. Elles n'avaient pas leur place ici. C'était chez lui. Cette maison appartenait à sa mère, à lui, à son père, mais sûrement pas à deux femmes qu'il ne connaissait pas.
→« Casse-toi, face de rat. Faut que je prenne un truc dans le frigo et tes grosses fesses me gênent le passage. Faudrait que tu penses à faire un régime. » Souffla Keegan qui venait d'entrer dans la cuisine. Sa demi-soeur se retourna, le rouge aux joues. Ils étaient tout le temps en train de se disputer. Ils en venaient parfois aux mains. Même si Keegan se disait toujours qu'il ne devait pas frapper les filles, Heaven était une exception. Il lui arrivait de lui mettre des gifles et de la bousculer avec brutalité pour l'enrager. Il ne l'aimait pas et il le montrait à tout le monde. « Tu te prends pour qui Keegan ? Si tu t'es levé du mauvais pied, faut l'dire. Fais pas ton ogre et calme tes nerfs, bon sang. » L'adolescente, âgée de treize ans, le bouscula avant de partir en courant, ignorant les insultes du jeune homme qui sortaient de la bouche de ce dernier avec indifférence. Ils avaient tellement l'habitude de s'insulter que ça ne leur faisait plus rien. C'était une routine. Si bien que leur parent respectif ne leur disait plus rien. Même Mattéo avait finalement accepté le fait que son fils ne s'entende pas avec sa belle-fille, bien qu'il aurait préféré les voir aussi proche qu'un frère et une soeur devraient l'être. Mais Keegan était têtu, il ne s'avouerait jamais vaincu, enfin ... pas aussi facilement.
« Bon, Keegan, et si tu me disais dans quelle section tu voudrais être à l'université ? » Assis face à son père, le jeune homme releva son regard, précédemment posé sur son assiette pour fixer son paternel d'un air irrité. « J'te l'ai déjà dit, p'pa. J'vais aller en gestion et finance. Tu sais que tu m'as posé cette question trois fois au moins ? » Mattéo haussa des épaules. « C'est pour voir si tu ne changes pas d'avis. » Keegan lui lança un regard froid avant de contempler son assiette avec intérêt. Oui, elle était belle, cette assiette. Il fourra dans sa bouche une énorme quantité de pâtes carbonara, l'air de rien. Heaven le regarda d'un air dégoutté. Il releva son visage vers elle avant d'ouvrir la bouche, laissant toute la nourriture tomber en un bruit sec sur le bord de la table. Juste après, Keegan se leva de sa chaise et annonça qu'il n'avait plus faim et qu'il allait chez une amie pour la soirée. Heaven se leva à son tour, l'insulta de « sale con » avant de partir s'enfermer dans sa chambre. Mattéo regarda sa seconde femme d'un air exaspéré. « Laisse-les, va. Ils sont jeunes. » Lui murmura cette dernière avec un petit sourire amusé.
→ « J'te jure, c'est vraiment trop bizarre c'que je ressens. Je n'peux pas vraiment t'expliquer, mais j'crois que dans le fond, je ne la déteste pas vraiment. C'est bizarre, non ? J'ai pourtant tout le temps pensé que je la détestais. » Souffla Keegan à son amie d'un air exaspéré. Cette dernière le regarda avant de rire brusquement. Il afficha une mine de chien battu avant de rire à son tour. « Tu d'viens timbré, mon pauvre Scalabrini. » S'enquit de dire la brunette face à lui. Il haussa des épaules et stoppa son fou rire doucement. « T'as sûrement raison. J'deviens fou. » Pourtant, il n'était pas très convaincu. La détestait-il vraiment ? Il n'en savait rien.
« Bon Heaven, si tu pouvais bouger tes fesses, histoire qu'on n'arrive pas en retard, ce serait cool. » Hurle Keegan à la concernée qui se trouve à l'autre bout de la maison. Il pousse la porte d'entrée, son sac de cours sur l'épaule gauche, comme à son habitude. Montant côté conducteur de sa voiture, il klaxonne plusieurs fois avec une tête de constipé, l'air de dire « si tu n'te bouges pas, je t'explose la tête. » Cinq minutes plus tard, Heaven se pointe, habillée aussi parfaitement que possible, comme à son habitude. Elle monte dans la voiture, aux côtés de Keegan tandis que celui-ci met le son à fond ; histoire de ne pas lui parler. Depuis quelques temps, il n'a plus la tête à l'insulter, à se battre avec elle. Tout simplement parce qu'il a finalement compris ses sentiments à son égard et qu'il tente de les cacher au maximum.
Dernière édition par M. Keegan Scalabrini le Lun 29 Juil - 18:46, édité 13 fois
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Sujet: Re: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 14:28
HNH
Bon courage pour la fin de ta fiche !
Invité Invité
Sujet: Re: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 14:45
Ton avatar Bienvenue sur le forum et bonne chance pour le reste de ta fiche Et si tu as des questions, on sera là pour y répondre
Invité Invité
Sujet: Re: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 15:22
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue
Invité Invité
Sujet: Re: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 19:06
Ton histoire est juste super Je te valide donc Amuse-toi bien sur le forum
Invité Invité
Sujet: Re: KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. » Lun 29 Juil - 19:12
Maël A. Brémont a écrit:
HNH Bon courage pour la fin de ta fiche !
Merci beaucouuuup
R. Lisbeth Fallow a écrit:
Ton avatar Bienvenue sur le forum et bonne chance pour le reste de ta fiche Et si tu as des questions, on sera là pour y répondre Ton histoire est juste super :cutie:Je te valide donc Amuse-toi bien sur le forum
Hiiii, merci beaucouuuup
E. Avery Wheeler a écrit:
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue
Merci bicouuuup
KEEGAN + Je répète ; tu es aussi mince et sexy qu'un phacochère. »