Loreleï ϟ Quand je m'ennuie, je parle à mes seins.

Loreleï Julie Martinyou're never too young to dream big.

madame, PRÉNOM : Loreleï Julie NOM : Martin ÂGE : 18 ans DATE DE NAISSANCE : 7 décembre 1994 ORIGINES : française LIEU DE NAISSANCE : dijon, bourgogne, France CARACTÈRE : folle, douce, susceptible, bavarde. GROUPE : so far gone POURQUOI CHOISIR CE GROUPE ? Raison toute simple. Loreleï viens de France et y à toujours vécu. Si elle est là aujourd'hui, c'est parce qu'elle à besoin de changer d'air. questionnaire, ►VOUS HABITEZ seul(e) en couple en colocation en famille ►VOUS ETES ACTUELLEMENT étudiant ▹ écrire ici les activités pratiquées, l'emploi et/ou les études en cours salarié ▹ écrire ici les activités pratiquées, l'emploi et/ou les études en cours  sans activité ►ETAT CIVIL célibataire en couple marié divorcé veuf ►ATTIRANCE hétérosexuel(le) bisexuel(le) homosexuel(le)

biographie, J'ai vu le jour le 7 décembre il y à de ça 18 ans, ça commence à faire beaucoup quand même, mais bon, je m'en plaint pas, je suis encore bien. J'ai vu le jour dans une famille plutôt modeste mes parents n'étaient pas les gens les plus riches du monde mais ils ont toujours sût s'occuper de moi comme il faut. Mon frère, ma sœur et moi quoi. Oui, nous sommes trois. J'ai un grand frère de trois ans plus grand que moi et une petite sœur, de six ans moins que moi. J'ai toujours été proche de mon frangin, on à souvent eu les mêmes amis et ça nous à attirés pas mal d'embrouilles, mais j'en parlerais plus tard. Quand ma soeur est arriver, je l'ai détester faut dire la vérité. J'avais six ans à l'époque et j'était jalouse, elle me prenais mes parents et personne ne semblait s'en apercevoir. Alors je n'ai rien dis et j'ai continuer mon chemin. J'ai toujours été une petite garce sur patte. Je voulais toujours faire comme les grands, je me battait des l'école maternelle et je crois que je ne me suis jamais arrêté pour dire vrai. J'ai un gros caractère depuis petite, tout l'inverse de mon frère. Je ne me laisse pas marcher dessus, si quelque chose ne me vas pas je le dis, j'ai toujours été trop franche mais parfois, ça fais mal. A l'école, j'était une bonne élève jusqu'en CM1 à peut prêt. Je n'aimais pas ma prof, non, elle ne m'aimais pas. Enfin c'était mutuelle. Ma mère à eu plus d'un rendez vous avec elle. Résultat, mes notes ont baissés et j'ai frôlé le redoublement plus d'une fois avant même d'entrée au collège. L'entrée en sixième. Que de bons souvenirs. J'allais en cours simplement parce que je n'avais pas le choix. Je n'aimais pas l'école. Alors je passais mon temps dans le fond de la classe à envoyés des bouts de gommes sur mes potes et à dire à mon prof de math d'aller se faire foutre. J'était comme ça. Je le suis toujours. Je n'attendais qu'une chose, me faire virer de cours pour retrouver mon copain et mon meilleur ami dans les bureaux. Redoublement d'office. J'men fou, j'ai mes potes. Ouais, ben les amis c'est pas toujours là, j'en ai eu la preuve. Suite à mon redoublement tout mes amis on traînés avec des mecs de cinquième et moi j'était là à me coltiner les gamins qui pleuraient le jour de la rentrée et qui se perdais dans le collège miteux où j'ai passer 4 années de ma vie. Mais une après midi tout à changer. Une après midi de plus de sécher. J'allais en ville, à quoi ça pourrait me servir le dessin? Je me promenais dans le centre ville sans trop savoir où j'allais, je voulais être partout sauf chez mes parents et au collège. Les disputes de mes parents était trop présente, je n'en pouvais plus d'entendre ma mère hurler et foutre des gifles à mon père. Infidélité. Merci papa, tu as ruinés ma vie. J'avais 12 ans, j'était seule, je voulais trouver des personnes qui pourrais me changer les idées. Et je les ai trouvés cette fameuse après midi de mai. Parc Darcy. J'adorais y passer mon temps, au fil des années, ils l'ont détruit. C'est con, on y était vachement bien. Mes écouteurs fixés dans les oreilles, on me percutait de pleins fouet, je me retrouvais sur le cul dans l'herbe sèche du parc. « Putain, ça te tente pas de faire gaffe? » Le mec en face de moi m'aidais à me relever hors d'haleine, une nana lui sautait sur le dos, ils avaient l'air de planer grave, j'avais pas forcément tord voyant le joint que tenais la fille entre ses doigts vernis de noir. « J'suis Clara et lui c'est Pierrick, excuse le il est totalement atteint. » Pierrick mis un petit coup de point dans l'épaule de Clara. « Lory... » La jeune adolescente plus âgé que moi me pris par la main pour m’entraîner vers ses amis. Ils avaient l'air sympa, bien que défoncés. Je me laissais donc faire et suivais ses inconnus qui deviendront mes meilleurs amis. Les semaines passaient et très rapidement je tombait amoureuse de Pierrick. Séchant les cours pour aller rejoindre mes amis dans ce parc qui nous étaient tous si cher, je passais mes journées bourrée sans même savoir parfois où j'était. Rapidement, j'ai fais la connaissance de David. A ce jour, il restera ma plus belle rencontre et ma plus belle amitié. Il avais 16 ans, j'en avais 13. C'était le meilleur ami de Pierrick, défoncée H24 au shit, à la beuh et à tout ce qu'il pouvais trouvé il était simplement incroyable. La première fois que je l'ai vu, il m'a fais totalement flipper mais j'ai découvert une personne parfaite derrière ses allures de mec pômer. Notre amitié s'est vraiment renforcé le jour où ma mère à failli y passer. Avec toutes ses embrouilles qu'elle avais avec mon père, ma mère s'est foutu la gueule en l'air avec des cachets. Malin. Mon premier réflexe était de réveiller David à 7 heure du matin pour lui demander de venir. Mes parents ne l'aimait pas. Mais il était déjà tout pour moi. Après avoir passer la journée à lui pleurer dans les bras et à attendre des nouvelles de ma mère, David m'a tendu ce qui deviendra mon pire ennemi. Un join. Du shit pour être précise. J'ai d'abord refuser mais après j'me suis dis que je n'avais plus rien à perdre. Alors j'ai fumer. Fumer à ne plus me rapeller où j'habitait. Une bouteille de vodka plus tard, ma mère se réveillais et je rentrait. Deux ans se sont passés comme ça, je fumais comme une pourris, je buvais, je faisais de la merde mais j'était bien. Je me sentait comme eux. Mais David changeais de jour en jour. Il devenais méchant, agressif. Avant que notre amitié n'en prenne un coup, j'ai été cash avec lui, loin de m'imaginer ce qui allais arriver ensuite.« Putain, tu fais de la merde David ! Merde t'es une épave! Putain mais regarde toi dans un miroir, je ne te reconnais plus. Putain c'est moi Loreleï! Réagis bordel! Arrête toutes ses merdes. Si il faut j'arrête avec toi! T'es en train de crever David, et tu captes que dalle. Si tu crèves comptes pas sur moi pour être là à ton enterrement. »  Ce sont les derniers mots que j'ai put lui dire. Une semaine après, il partait. Overdose. Malgré les années, il me manque toujours autant et personne n'a jamais réussi à prendre sa place. Après sa mort, je me suis battue contre la drogue, j'en ai fais une véritable lutte quotidienne. Bien des années on passés. J'ai eu plusieurs petits amis, de nombreux amis, de nombreuses larmes aussi. Mes parents se sont réconcilié et vive des jours heureux. Je suis bien, je vais mieux, même si je n'arrive plus à être la même qu'avant. Je n'ai trouver personne pour combler la mort de David, je n'arrive plus à sourire comme avant, je n'arrive plus à être pleinement heureuse. Alors je fume clope sur clope un faux sourire fixé sur les lèvres. J'ai mal en silence depuis des années maintenant, mais je ne peux rien dire. Je me suis fais virer du collège et je travail maintenant, CAP restauration, je n'aime pas forcément ça, mais bon. Faut payez les clopes. Avec mon frère, on est vraiment très proche et il me présente à tous ses amis, c'est génial, je me sens... Grand. Du haut de mes 16 piges. Ils sont tous à la fac, ils sortent beaucoup, ils me font délirer, je les adorent. Mais un sortira du lot toute ma vie. Mathieu. On ne peux pas dire que c'est un top model, mais il me plaît et j'en tombe même amoureuse. Notre histoire durera un an. Il me quittera le jour de mes 17 ans par un simple texto. S'en ai suivi une longue dépression bien douloureuse. Mais quelques années plus tard, je vais bien, je vais beaucoup mieux. J'ai envie de rire, de m'amuser. Prenant la route pour la nouvelle Orléans, je laissais ma famille derrière moi.  [/color]