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 + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.

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MessageSujet: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 15:15


trudy jane-ery wildworthyou're never too young to dream big.

madame,
PRÉNOM : trudy jane-ery
NOM : wildworth
ÂGE : 22 ans
DATE DE NAISSANCE : 18 juin
ORIGINES : américaine, française
LIEU DE NAISSANCE : amérique, nouvelle-orléans
CARACTÈRE : Joueuse, charmeuse, nostalgique, sensible, passionnée, futée, déterminée, gourmande, dépensière, calculatrice, manipulatrice, jalouse.
GROUPE : state of grace
POURQUOI CHOISIR CE GROUPE ?
Bien qu'elle est née à la Nouvelle-Orléans, sa mère est née en France, il y a quarante ans, elle vivait dans le sud, mais elle avait voulu poursuivre ses études en Amérique et dès la fin de ses années de lycée, elle s'était dirigée à la Nouvelle-Orléans.


questionnaire,
VOUS HABITEZ
seul(e)
en couple
en colocation
en famille
VOUS ETES ACTUELLEMENT
étudiant ▹ écrire ici les activités pratiquées, l'emploi et/ou les études en cours
salarié ▹ gérante d'une boîte de nuit.
 sans activité

ETAT CIVIL
célibataire
en couple
marié
divorcé
veuf
ATTIRANCE
hétérosexuel(le)
bisexuel(le)
homosexuel(le)

biographie,
Une guitare, les yeux fermés, je fredonnais le nouvel air d'une musique que j'avais composé en français, étant attaché à cette langue. Concentrée, je ne voyais même plus l'aiguille de l'horloge tourner, j'étais bien, j'étais dans mon monde, mais ce moment paradisiaque fut rapidement coupé lorsque mon téléphone portable se mit à sonner, alors que je tentais de faire abstraction à ce son, je finissais par me lever au bout du troisième appel. Que se passe t-il ? Ma soeur jumelle Louna commença à crier de l'autre côté du combiné. Tu rigoles ? On devait manger toutes les deux à 13h au fast-food, dépêche toi ! Je raccrochais, me laissant ensuite tomber sur mon lit, soupirant un instant, je fixais le plafond, n'étant pas encore décidé à me rendre à ce rendez-vous. Entre elle et moi, ça a toujours été électrique, elle est très intelligente et moi je le suis moins, elle est coincée, je ne le suis pas, pour elle, le sexe c'est tabou et moi pas, elle a une vie saine et moi je consomme de l'huile de palme sans cesse, elle prévoit d'être chirurgienne et moi je ne sais même pas ce que je vais faire de mes dix doigts, elle préfère s'habiller chez "je suis une femme chic" et moi je préfère acheter mes vêtements dans diverses boutiques qui ne sont pas luxueuses. Je peux continuer sur nos différences pendant longtemps, elle est mon opposé et vis-à-vis de tout ça, il arrive que cela ne se passe pas bien du tout. Je fonçais donc jusqu'au fast-food où je commandais un menu royal, je m'installais face à elle, laissant tomber ma veste à mes côtés, je la regardais me faire une grimace et me dire d'être plus ponctuel. Keep your calm sister ! Elle leva les yeux au ciel, pendant que moi je croquais un énorme morceau de mon cheeburger. Tu l'aimes ! Je levais juste les yeux, m'essuyant la bouche avec le bout de ma langue. Aimer qui ? Alors que je continuais à engloutir mes aliments, je jouais en même temps à la fille innocente et mystérieuse. Alex ! Certes cela fait que deux semaines qu'on traîne avec eux, mais tu as vu comme tu le regardes, comme tu rigoles avec lui, vous êtes comme des aimants, vous ne pouvez pas être l'un sans l'autre. Je posais mon coca, je la regardais un instant, sentant mon coeur s’accélérer rien qu'en entendant le prénom de l'homme sur qui j'avais flasher. Oui je l'aime, d'ailleurs depuis Mike je n'ai pas ressenti des sentiments aussi.. Enfin tu vois ! Mais tous les mecs que j'aime vraiment, ça se termine mal ou ça se finit en déception. Mike est mon premier amour, celui que j'ai aimé dès le premier regard, j'aurais fait n'importe quoi pour lui, notre relation a été très compliquée, et ça s'est terminé lorsqu'il a déménagé et j'ai complètement rompu le contact avec lui pour l'oublier et dieu sait combien de temps il m'a fallu. Après lui, j'ai eu des aventures qui n'ont eu aucun importance, tout n'était que physique. Et il y a deux semaines, j'ai rencontré Alex, au début je suis restée distante, mais j'ai fini par tomber dans le piège de l'amour, il a commencé à me parler souvent, me voir souvent et puis il a commencé à s'éloigner et j'ai commencé à me battre mentalement pour le bannir de mon coeur. Et tu ne vas pas te battre ? J'espère que tu ne vas pas entrer de nouveau dans ta phase "ne plus rien ressentir" ? Elle me connait trop bien, tout comme moi je le connais. J'en ai assez de me battre pour l'amour, je ne veux pas me battre pour une cause perdue, je ne veux pas souffrir, je ne veux plus souffrir, alors oui je vais tenter de prendre le dessus sur ce que je ressens et je vais y parvenir à nouveau. Elle me regardait avec un air désespéré, qui me fit sourire.


Pensez-vous que j'ai réussi ? Bien sûr que non, du moins j'ai réussi à prendre le dessus sur ma souffrance de ne pas "l'avoir", de ne pas être en couple avec lui, de ne pas avoir la force de lui dire par peur de me prendre un râteau. Mais au fond je souffre encore, notamment quand je le vois parler, sourire, rigoler avec d'autres filles. Mais dans ce monde de fou, est-ce que l'on peut ressentir un sentiment pire que l'amour ? J'aurais pu répondre non, mais je dis oui, car je l'ai découvert, la mort. Louna, n'était pas encore rentrée, elle revenait en voiture, car nos parents avaient du s'absenter, généralement c'est notre père qui allait la chercher à la fin de son cours de natation, mais cette fois-ci elle avait pris sa voiture. J'ai commencé à m'inquiéter, elle ne répondait à son téléphone, j'ai appelé nos parents pour savoir s'ils avaient eu des nouvelles, mais eux non plus n'avaient pas réussi à la joindre. Puis j'ai entendu sonner à la porte d'entrée, je me suis précipitée vers celle-ci et j'ai découvert deux agents de la police. Nous pouvons voir vos parents ? Je le savais, je l'ai senti, les larmes sont montées et j'ai commencé à crier, ils ont tenté de me retenir, me calmer, mais je les repoussais. Laissez-moi ! Je me suis écroulée sur le sol, continuant à pleurer encore et encore toutes les larmes de mon corps. La police a contacté mes parents qui sont aussitôt rentrés, je n'avais pas bougé, j'étais restée assise sur le sol, le regard vide, les yeux rouges. Ma mère s'est approchée de moi, pour me mettre une couverture sur moi, me remarquant grelotter. Et j'ai murmuré : Elle est partie... C'est avec ses mots que je venais de prononcer, que je prenais en même temps conscience que je n'allais plus la revoir, que nous étions séparées, je me sentais vide, une partie de moi me manquait. J'ai ensuite entendu les explications que les policiers ont donné à mon père au propos de l'accident. La voiture a quitté la route, avant de tomber dans le ravin, nous pensons qu'elle a heurté un animal ou qu'elle a perdu le contrôle du véhicule à cause d'une minute d’inattention. Et je me disais qui si je m'étais proposée de l'accompagner à son entraînement pour une fois, elle aurait peut-être été sauvée, elle n'aurait rien eu. Et j'ai tourné la tête en direction de ma mère qui tenait une photo de ma soeur dans les mains, se mettant à prier, je me suis alors levée, je l'ai fixé. Tu crois qu'elle reviendra avec des prières ? C'est pathétique, prier ne sert à rien. Et si tu cherches une raison au fait qu'elle devait mourir, tu n'en trouveras pas. Puis je me suis enfermée dans ma chambre, je ne suis pas sortie jusqu'au lendemain soir, j'ai dormi, j'ai pleuré, j'ai pensé. A son enterrement, j'ai sans doute fait le plus long discours, je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas pleurer et j'ai même achevé ce discours par une simple phrase. Et elle me disait souvent, je t'admire pour ta force et moi je l'admirais pour sa bienveillance. Les jours qui ont suivi ma mère a rassemblé ses affaires pour les donner et en ranger dans le grenier. Alors que ma mère se réfugiait dans la prière, mon père choisissait le travail. Heureusement, mon groupe d'amis était présent pour moi.

Je me remettais doucement, Leslie, ma meilleure amie passait du temps avec moi pour me divertir, tout comme Max, mais avant tout j'évitais tout de même Alex, je n'avais pas besoin d'aller plus mal. Mais Max et Leslie m'ont forcé à me rendre à une soirée pour me changer les idées, j'y suis allée, cela se passait bien, et Alex est arrivé avec des amies à lui. Il avait déjà bien bu à voir sa tête. Je pars d'ici, j'ai besoin de prendre l'air. J'ai enfilé ma veste, je suis passée à côté de Alex, lui lançant un regard noir. Une fois dehors, j'ai marché en rond, j'ai insulté de pauvres gens dans la rue, énervée, attristée, je ne me contrôlais plus, j'avais tellement envie de taper quelqu'un. D'ailleurs Alex est sorti. Tiens je pensais que tu étais rentrée chez toi ! Je me suis approchée de lui et je l'ai giflé, si fort qu'une jeune femme s'en était retournée après avoir entendu le claquement, je pouvais même apercevoir la marque de ma main. Tu es... dingue sérieux. Je me mettais à le pousser, l'insulter, il commençait à me retenir au niveau des poignets. Je te hais, je te déteste ! Je pleurais à travers mes mots, il me lâcha les poignets remarquant que je n'avais plus de force et je suis partie en courant. Il y a deux ans, lorsque ma soeur m'avait regardé avec son air désespéré pour me montrer que mon idée d'oublier Alex ne fonctionnerait pas, elle avait raison, j'avais pensé que cela avait fonctionné, mais dès qu'il se retrouvait face à moi, tous les efforts que je faisais pour l'oublier, ne plus penser à lui, s'envoler en un éclat. J'ai pleuré cette nuit-là, je me suis assise dans ma cachette, le cimetière un endroit spécial, mais je parle à ma soeur, je me sens à ses côtés. Lorsque la lumière du soleil s'est installée de nouveau sur la ville, je suis rentrée chez moi, juste devant la porte d'entrée, ma meilleure amie attendait, le visage décomposé, les larmes roulant sur ses joues. Alex est à l'hôpital... Elle se jeta dans mes bras, je ne comprenais pas, je ne comprenais plus. Il a été renversé après ton départ, il a traversé, il a pas regardé et... Mon esprit frappé, je suis restée de marbre. [...] J'étais face à lui, je lui tenais la main, alors qu'il était allongé inconscient, les médecins ne lui donnaient encore que quelques jours, alors que les autres pleuraient autour de moi, mon visage n'exprimait rien. Et le lendemain il s'est réveillé, il vivait ces dernières heures. Ses yeux ouverts, j'ai souris, j'ai déposé un baiser sur son front. J'ai remarqué son petit rire et il a murmuré. C'est l'histoire d'une belle brune, qui à l'intérieur est blonde et elle se prend souvent des poteaux, car elle est beaucoup trop sur son I-phone. Je rigolais, il me l'avait souvent dit, car oui il parlait de moi. J'ai passé ma main sur sa joue et mes larmes ont enfin coulé. Alex... je t'aime, pas seulement comme une amie, mais je t'aime tellement. Il a souri, il a laissé un silence s'installer, avant de me répondre d'une voix douce. Et je te promets que tu m'oublieras, je ne veux pas que tu m'aimes éternellement, je veux que tu sois heureuse et tu trouveras l'homme de ta vie, je veillerais sur toi de là-haut et si un seul homme te fait du mal... il me rejoindra ici. Tu es un rayon de soleil, j'ai aimé tes crises de colère, tes sourires, ton rire, tes blagues... et en temps que mec j'ai aussi aimé te voir dans tes petites robes, admirer ton corps... Et je le comprenais, je ne lui avais pas été indifférente, ses mots me faisaient rêver, je me penchais pour l'embrasser, je serrais en même temps sa main si fort, je ne voulais pas qu'il meurt, je voulais qu'il reste avec moi.


Il est décédé, je venais d'être diplômée, j'étais perdue, heureusement mes amis étaient là, ma mère quant à elle, une fois de plus, elle priait pour moi, et mon père me disait de me concentrer sur mes futures études. Durant trois ans, je me suis focalisée sur mes études pour devenir infirmière, entre temps j'ai oublié ce qu'était l'amour, je m'amusais tout simplement, j'ai commencé à enchaîner les coups d'un soir, et je me suis éloignée de mes anciens amis, bien qu'ils tentaient de garder le contact avec moi, mais je les repoussais, car lorsque j'étais avec eux, le souvenir d'Alex me revenait en tête et je ne voulais absolument pas souffrir à nouveau de son absence. Alors que j'avais passé la nuit dans le lit d'un inconnu, je me suis réveillée le matin, il se tenait à mes côtés, me regardant dormir. Tu n'as jamais vu une femme dormir ? Il m'était indifférent, je ne savais même pas son prénom, je ne savais même pas où j'étais, je sais une chose j'avais bien bu la veille et j'avais passé un agréable moment avec ce bel homme. Je t'admire, tu es comme un ange lorsque tu dors. Je me suis mise à rire, avant de me lever et de commencer à m'habiller. Tu ne restes pas déjeuner avec moi ? J'ai rigolé à nouveau, prenant ma veste, mon sac. Sérieusement j'ai une tête à déjeuner avec toi ? Tu es mignon, j'ai passé une bonne nuit, mais tu vois ça s'arrête là ! Et je suis partie, voilà comment ma vie se résumait, mes études, les hommes, le sexe, les soirées. Alors qu'avant j'étais déjà la petite fille qui aimait s'amuser, je m'amusais encore plus, je ne faisais plus dans le sentimental et je vivais librement, me coupant de tout mon passé. Et puis j'ai eu mon diplômé d'infirmière, j'ai commencé à travailler à l'hôpital, mais j'en avais assez d'aider les gens, voir des familles pleurer, faire des piqûres, être vigilante avec les patients. Puis finalement, ces études-là c'est ma soeur qui voulait les faire et non moi. Alors quelques mois après, j'ai démissionné, ayant un nouveau projet en tête. Mes parents m'aidaient financièrement, depuis mon plus jeune âge j'aimais économiser, d'ailleurs c'était même comme une sorte de tic en moi. Cet argent me servait enfin, j'ai acheté un local, j'ai trouvé des serveurs et serveuses, des agents pour la sécurité, un barman, tout ce qu'il fallait. Ma boîte de nuit nommée "Apocalypse" allait enfin voir le jour. Alors qu'avant j'en parlais avec ma soeur avant de m'endormir le soir, que je lui racontais comment je la voyais, et qu'elle rigolait en me disant que c'était un trop gros projet, mais voilà ma boîte de nuit était là. Et je savais une chose elle gagnerait en popularité, et mes contacts que j'avais acquis à travers les diverses soirées allaient m'aider pour cela.

Ma boîte de nuit prenant de l'importance, je commençais à ne plus gérer la totalité, j'avais besoin d'aide, je me suis mise à chercher un co-gérant, certes j'allais devoir partager correctement la boîte avec ce co-gérant, mais j'allais recruter correctement. J'ai donc vu défiler plusieurs personnes, j'ai étudié divers CV, prenant à chaque fois des renseignement sur ces personnes grâce à mes contacts. Et il y a eu cet homme, il avait un bon CV, il semblait motivé, avoir de l'expérience dans le domaine, et selon les renseignements que j'avais pris sur lui, il n'avait aucun casier judiciaire, tout paraissait clair. Et si on parle de son apparence, alors là autant dire qu'il frôlait la perfection. Après quelques jours de réflexion, c'est lui que j'ai décidé d'engager. On a commencé à travailler tous les deux, tout se passait vraiment bien. Il apportait un plus à la boîte, n'hésitant pas à proposer des thèmes pour les soirées, trouver des DJ connus. Je m'entendais bien avec lui, trop bien selon moi même, alors je tentais de ne pas trop me rapprocher de lui, mais je n'y parvenais pas, c'était beaucoup trop fort. Même pas un petit verre ? Je m’apprêtais à partir, la boîte de nuit venait de fermer, on avait passé une grosse soirée. Je m'approchais de lui, lui murmurant à l'oreille. Tu aurais du proposer ça à la jeune rousse tout à l'heure, elle semblait très intéressée par toi et surtout ton corps ! Puis je suis rentrée chez moi. J'en étais certaine, je l'aimais, enfin je ressentais de nouveaux de vrais sentiments pour un homme, ce soir-là j'avais ressenti de la jalousie, lorsque cette femme l'avait approché, lui avait fait des avances. [...] Les jours avançaient, mais je ne voulais toujours pas m'attacher, ayant peur de le perdre, comme toutes les personnes que j'avais aimé. Mais un soir, il a fait le premier pas, il a osé et il m'a embrassé, alors qu'il y avait toute la foule du club autour de nous et nous nous sommes isolés dans la pièce qui nous servait de bureau, où nous avons pris du plaisir, mais après ce moment, j'ai paniqué. J'aurais pas du, pourquoi tu m'as embrassé, tu n'aurais pas du... Je me rhabillais comme une hystérique, il ne comprenait pas vraiment, bien que je lui avais déjà parlé de mon passé, il était au courant de la mort de ma soeur jumelle et de Alex, l'homme que j'avais aimé. Il s'est approché de moi, prenant mon visage entre ses mains, laissant ses yeux sombrer dans les miens. Ça va aller ! Tu peux te focaliser sur l'avenir, il ne m'arrivera rien, je te le promets, je ne te laisserai pas. Sauf que malgré ces mots, je me suis enfuie. [...] Après avoir réfléchie toute la nuit, je me suis rendue chez lui le lendemain. Désolée d'être partie, de ne pas avoir répondu à tes appels... Mais j'étais mal, depuis cinq ans, je lutte pour ne pas être amoureuse, ne pas m'attacher à un homme, et toi tu es arrivé, tu as tout changé, et ça me fait peur. Nous avons parlé, et finalement j'ai tenté de faire face à mes peurs, les affronter et nous ne sommes pas en couple, on prend du bon temps, mais je ne sais pas si c'est une bonne idée, peut-être que je devrais me poser enfin ?



Dernière édition par Trudy J-E Wildworth le Jeu 1 Aoû - 10:56, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 15:17

Nina + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 3849709752 + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 3849709752 + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 3849709752 Je te la réserve tout de suite + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1968869370
En tout cas bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1667459580 
Et si tu as la moindre question on sera là pour y répondre + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1968869370
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MessageSujet: Re: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 15:20

Mon dieu j'adore votre css, c'est une merveille -je te tenais fortement à le dire- I love you 
Merci pour la réservation, pour une fois qu'elle est libre + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 3268454718 
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MessageSujet: Re: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 15:26

La belle Nina ! I love you
Bon courage pour ta fiche et n'hésite pas si besoin !
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J. Flynn Isodore
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MessageSujet: Re: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 15:27

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1060725131 + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1060725131 + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1060725131 + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 4188152323 
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MessageSujet: Re: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 15:30

Des beaux gosses + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 2045940875  + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 594138607 
Merci à vous deux. + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 1968869370 
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MessageSujet: Re: + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.   + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. EmptyLun 29 Juil - 16:09

Oh, ton histoire est géniale, triste mais géniale + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 3849709752
Et bien te voilà validée, tout est parfait I love you 
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Merci + Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix. 4098158636 
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